Récits


Récit du 14 juillet 2010

      Des dégâts éparpillés

Le vent frappa durement car les arbres furent réellement secoués et malmenés, d'ailleurs, de nombreuses feuilles et branchettes volaient dans les airs témoignant des possibles dégâts qui devaient se produire dans la région. La pluie, certes forte, ne fut pas spectaculaire comparée au vent. Du côté des éclairs, la fréquence fut modérée et leur activité était essentiellement intranuageuse.

Lorsque l'orage passa, j'eus effectivement à constater des dégâts éparpillés dans la région de la citadelle de Namur, ceux-ci concernèrent essentiellement la végétation qui avait perdu pas mal de branches de toutes tailles.
Michael Baillie




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