Sur la route, mon regard fut attiré par la formation très rapide d’un arcus. Sentant la puissance que celui-ci dégagea, je tentai de rester à l’avant de cette vigoureuse cellule orageuse. Peine perdue ! En effet, l’orage se déplaçait tellement vite qu’il finit par me rattraper dans les environs de Flobecq.
Je n’avais donc plus le choix et dû m’arrêter pour subir le passage de cet orage. Durant une dizaine de minutes, de fortes averses de pluie et un vent fort s’abattirent sur ma voiture. Au loin, le grondement du tonnerre se faisait entendre. Enfin, je décidai de faire demi-tour car je devais me rendre à mon travail.
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